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  • pablopatarin

Marche du 16 octobre : canicule sociale et ras-le-bol général [REPORTERRE]

Dernière mise à jour : 10 janv. 2023

Article et photographies pour Reporterre, publié le 17 octobre 2022.


La marche contre la vie chère et l’inaction climatique organisée par la Nupes a réuni des dizaines de milliers de personnes à Paris, mobilisées contre l’injustice économique et climatique.

16 octobre. Dès la sortie du métro place de la Nation, la police a annoncé la couleur en fouillant les sacs. 140 000 personnes ont répondu présent à l’appel de la Nupes (selon les organisateurs ; 30 000 selon la police). Parmi elles, des sections locales de l’union de gauche, venues du Cantal, de la Lozère, du Lot, de l’Allier… Les bus de certaines d’entre elles ont subi des fouilles avant même leur entrée dans Paris. Une multitude de militants d’autres organisations se sont déplacés, du NPA à la CNT en passant par la FSU, la Jeune Garde, la CGT ou l’UCL.


Si aucune confédération syndicale n’a souhaité s’associer directement, plus de 700 syndicalistes avaient appelé à rejoindre la marche. Les revendications étaient tout aussi nombreuses que les manifestants : opposition à la réforme des retraites, à l’inflation, à l’inaction climatique, droit au logement, demande d’une taxe des superprofits… Symbole d’une société qui craque mais se solidarise pour sa survie.



Sylvain, militant du Pôle de renaissance communiste en France, espère des changements : « On se mobilise contre les fauteurs de guerre, contre la réforme de l’assurance chômage, celle des retraites ». Même envie pour Danièle et Michèle, « retraitées mais toujours syndiquées » à la CGT Enseignement supérieur, qui espèrent une hausse conséquente du SMIC, la retraite à 60 ans et surtout le « droit de manger pour tous, qui n’est même plus assuré ».


L'article est à découvrir en intégralité à ce lien.




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